domingo, 21 de fevereiro de 2016

Coluna Claquete - 28 décembre 2012





Film de la semaine: «L'odyssée de Pi»

Bien que d'autres titres importants, l'année 2012 a été fermé avec l'un des films les plus étonnants de ces dernières années, le voyage onirique «L'odyssée de Pi» du realisateur taiwanais Ang Lee, auteur d'ouvrages aussi divers que «Tigre et Dragon» ou «Le Secret de Brokeback Mountain».
Ses caractéristiques personnelles sont extrêmement marcantes dans ses films, ce qui est déjà évident dans les premières minutes de «L'odyssée de Pi», avec les belles et déconcertantes images qui définissent l'identité du narrateur.
L'histoire est racontée par l'adulte Pi (Irrfan Khan), un Indien qui vit dans la partie française du Canada. Il parle avec un écrivain (Rafe Spall) qui vit une crise de créativité, et qu'un ami commun a l'envoyé, en disant qu'en fin de compte il aurait plus qu'un livre.
La vie de Pi a toujours été extraodrdinaire. Son vrai nom, Piscine Molitor Patel, a été donné en l'honneur d'une piscine française où un ami de la famille avait nagé one fois. Le problème est que le son «piscine» a remété a une gros mot, qui metait l'enfant dans une mauvaise situation à l'école. Sa stratégie consistait à adopter le sobriquet de Pi, et tout savoir sur le fameux numéro irrationnel, en vue de son adoption. 
Comme un enfant, Pi a grandi sur l'influence de la mère (Tabu), une dévote hindoue, contrebalancée par son père (Adil Hussain), un rationaliste terre-à-terre, qui ne croyait pas dans les religions. Inquiet, le garçon a tenté d'autres voies, telles que le christianisme et l'islam. Ce personnel œcuménisme seulement avait de place dans la conservatrice Inde parce que il appartenait à une culte maison, et avec parents intelligents.
Le père avait créé un zoo privé dans l'ancienne partie française de l'Inde. Toutefois, avec le départ des Européens et la perte subséquente de soutien du gouvernement local, la solution consistait à vendre les animaux des zoos à l'étranger, et la famille a émigré au Canada.
Pour l'adolescent Pi (Suraj Sharma) a été un choc, non seulement la perte de son monde, mais l'amour naissant pour Anandi (Shravanthi Sainath), une étudiante de danse qu'il a rencontré lors du remplacement d'un professeur de musique.
Ainsi, la famille a embarqué dans un navire cargo en direction de leur nouveau pays. Lors d'une tempête au milieu de l'océan Pacifique, le navire a coulé, et Pi survécu dans un bateau avec quatre étrange compagnons: une hyène, un orang-outan, une zèbre et un puissant tigre-de-Bengale, dont le nom était Richard Parker.
Essayent il même de survivre, Pi a été temoin de les animaux s'entre-tuer, laissant enfin le Tigre et lui dans un petit bateau. Dans les jours et les nuits suivantes, Pi cherchait des stratégies pour la survie, en arrivent à le plus fou de tous les concluions: pour lui survivre, le tigre doit être bien nourri.
La journée a été marquée par d'étranges rencontres avec des méduses et des baleines, des requins et des poissons volants, tandis que le jeune cherchait à préserver sa vie et sa santé mentale. La découverte d'une île remplie de suricates et d'eau douce révèle être une piège mortel dont ils sont contraints de fuir.
Quand il a finalement atteintait la côte mexicaine, et il a été sauvé, personne ne peut croire à une telle fantaisie d'aventure. Comment pourrait un homme de survivre plusieurs jours en compagnie d'une bête sauvage? Une autre version a été suggéré par Pi, qu'est-ce que pourrait être plus vrai, vivre avec un animal sauvage ou avec la sauvagerie de l'homme lui-même?
«L'odyssée de Pi» n'est pas un film pour une lecture directe, étant essentiellement un travail plein de symbolisme, un mélange intéressant de concepts religieux et de la condition humaine. Peut-être il y a plus de suggestions de questions que de réponses, laissant les spectateurs à les faire eux-mêmes.
Le film est un spectacle visuel et sonore qui doit avoir été bien utilisé dans les vues 3D, depuis de nombreuses scènes exploitent cette impression de profondeur. Comme les autres films de Ang Lee, la bande sonore et les paysages sont superbes, ce qui rend difficile de distinguer ce qui est réel et ce qui a été créé sur l'ordinateur.
«L'odyssée de Pi» est basé sur un livre homonyme écrit par Iann Martel, dont les journaux de plusieurs pays l'accusent d'avoir volé des idées du roman «Max et les felins», écrit par le Brésilien Moacyr Scliar, décédé l'an dernier. Publié en 1981, le livre de Scliar raconte l'histoire de Max, un jeune garçon allemand qui, après un naufrage, se retrouve confiné à un petit bateau avec un jaguar. Dans l'introduction de son livre, Martel reconnaît que l'idée a été inspirée par Scliar.
Polémiques à part, «L'odyssée de Pi» est l'un des meilleurs moments de films de l'année 2012, bien que ne plaira pas à tous les publics. Mais si vous appartenez au groupe des cœurs et des esprits ouverts, ne manquez pas ce petit bijou.
Titre original: «Life of Pi»

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